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Cannes 2017 : Coralie Russier, de l'Ardèche à "120 battements par minute"

Coralie Russier, Cannes 2017

Coralie Russier (robe courte dorée) avec l'équipe du film "120 battements par minute" à Cannes. © Jean-Marc Haedrich/SIPA


Plébiscité par la critique, “120 battements par minute” de Robin Campillo, est pressenti pour la Palme d’or Cannes 2017. Parmi les comédiennes à l’affiche de ce film dramatique, la jeune Coralie Russier. Originaire d’Ardèche, elle a vécu sa première montée des marches. Mais c’est avec Roger Lombardot, un auteur et metteur en scène ardéchois qu'elle a fait ses débuts.
Le 20 mai dernier, Coralie Russier a gravi pour la première fois les marches du Palais des festivals avec la (grande) équipe du film de Robin Campillo, "120 battements par minute". Un moment fort « une journée magique » confiait la jeune actrice à nos confrères de France Bleu Drôme –Ardèche. Un rêve qui pourrait bien se prolonger si le film décroche, comme beaucoup le prédisent, la Palme d’Or de cette 70e édition.
Originaire de Cornas en Ardèche, Coralie Russier peut savourer ce moment à sa juste valeur. Et le fait de venir à Cannes avec ce film là - qui parle du combat des fondateurs d’Act Up Paris face aux ravages du Sida - a peut-être pour elle une signification particulière.

Le goût pour la vie et pour la scène


Le combat pour la vie, Coralie connaît. A l’âge de 5 ans et demi, elle a subi une greffe du foie qui lui a sauvé la vie. A l’époque, elle a donné un nom à sa donneuse anonyme, Sarah, devenue une sorte d’amie imaginaire. Cette histoire si particulière a inspiré Roger Lombardot, un auteur et metteur en scène ardéchois qui a été touché par ce récit, au point d'écrire une pièce intitulée "Sarah".
Après avoir passé un casting, c’est finalement Coralie qui a été retenue. C’est avec cette pièce qu’elle a appris son métier de comédienne, jouant dans des salles en région mais aussi au Théâtre du gymnase à Paris. "C’est mon expérience de vie, c’est mon socle" reconnaît la jeune actrice pour laquelle Roger Lombardot ne tarit pas d'éloge"Elle a la dimension d’une tragédienne sans le lyrisme mais avec le naturel et la simplicité."
"120 battements par minute" sortira en août 2017 mais le visage de Coralie sera présent sur le grand écran à plsuieurs reprises. La comédienne a tourné avec Catherine Corsini dans "Un amour impossible" aux côtés de Virginie Elfira. En 2018, on la verra dans "Jusu'à la garde", un drame signé Xavier Legrand avec Léa Drucker.

 

Chrystel Chabert
In : Culturebox/France Info 28/05/2017




La beauté sauvera le monde

« À travers un texte superbe, empreint d’une grande humanité, Roger Lombardot distille dans la tête du spectateur cet espoir fou : et si la beauté pouvait vraiment sauver le monde ! Un moment de grâce.  »


Isabelle Gonzalez, Le Dauphiné libéré.


Éloge de la femme de 60 ans


« Il faut voir le regard ébloui des spectateurs sortant de la représentation de Eloge de la femme de 60 ans. Entendre les mots si bien agencés, si naturellement posés sur un sens évident. On est heureux et en pleine compréhension de ce qui se tisse sans faire de bruit à une échelle humaine et profonde.  »


Frédérique Deghelt, écrivain (Actes Sud).


Homo Botticelli


« Un texte fulgurant, essentiel et vital, suivi d’un carrousel d’images en trois dimensions d’une telle force que la respiration vous manque. »

Jean-Pierre Thiercelin, le Billet des Auteurs de Théâtre.

« Le propos est dense et sombre. Sincère et juste. Puissant et bouleversant… Happé à la fois par la noirceur du propos sur l’humain et tant de beauté, le spectateur ne ressort pas indemne. »

Isabelle Gonzalez, le Dauphiné Libéré.


La Vie Sublime


« Portée par un verbe superbe, La Vie Sublime plaide en faveur de la conquête d’horizons nouveaux défendant le libre arbitre et la plénitude de vivre. S’y greffe un discours amoureux, voire érotique, imprégné du souffle du Cantique des cantiques et de l’énergie cosmique de l’univers. »


Brigitte Purkhardt, critique internationale de théâtre, enseigne la littérature et le théâtre à l’université à Montréal, Québec, Canada


Fantaisies Culinaires


« Un propos théâtral sur un sujet à risque sinon scabreux puisqu’il fut scandaleux au temps de Courbet« l’Origine du Monde » ou le sexe de la femme… Du grand Lombardot qui ravira tous les amoureux du théâtre qui aiment l’esthétique de la langue, le raffinement des propos et cette joyeuse décontraction de l’âme que l’on appelle l’humour. »


Pierre Courouble, le Dauphiné Libéré


68 mon amour


Long monologue admirablement écrit, 68 mon amour est un plaidoyer pour la vie. Traitant volontiers ses contemporains de morts-vivants, Roger Lombardot rejoint en cela Oscar Wilde« Vivre est ce qu’il y a de plus rare au monde. La plupart des gens existent, c’est tout. »


Paul Roussel, le Dauphiné Libéré


Fa’aamu


C’est avec une énergie phénoménale, presque animale, que Victoria Reïna porte ce texte admirable.

Sébastien Gayet, le Dauphiné Libéré


On ne sort jamais indemne d’une pièce de Lombardot. A chaque fois, la magie opère.

Pierre Courouble, La Tribune


Discours d’investiture de la Présidente des Etats-Unis

 

Roger Lombardot a le don de nous révéler le côté lumineux du réel. Son propos vise des objectifs essentiellement humains, destinés à réaliser une transformation profonde de l’individu et du corps social. Sa parole forte et belle dilate le cœur et stimule l’esprit. La politique s’en trouve humanisée. Et réhabilitée.


Brigitte Purkhardt, Les Cahiers du Théâtre, Montréal, Québec


Sarah


Un texte magnifique que la jeune comédienne sert avec une énergie et une conviction époustouflantes.

Sébastien Gayet, le Dauphiné Libéré

Un hymne à la vie restitué avec force et sensibilité

M.Q. La Voix du Nord

Un texte riche, fort, dense, porté par une jeune comédienne exceptionnelle.

Ouest France

Le public littéralement transporté s’est levé à la fin du spectacle pour ovationner Coralie Russier et pour saluer le texte de Roger Lombardot d’une force et d’une densité remarquables.

Le Penthièvre, Saint-Brieuc


La Rose


La première fois, lorsque Roger Lombardot m’a lu le texte de La Rose, les larmes me sont spontanément montées aux yeux !

Dominique Baffier, Conservatrice de la Grotte Chauvet


Une vie


La pièce est forte en tous points. Véronique Estel est admirable dans ses habits de vieille dame et déroule à merveille un texte rigoureux, pour nous laisser bouche en croix et les yeux vivifiés, reconnaissants, fiers d’être venus.

J.F. Lacour, l’Hebdo de l’Ardèche


Lettre à l’enfant


J’ai été emportée par la vague de ferveur et de passion de ce père et je voudrais avoir été capable de parler à un enfant comme il le fait.

Emmanuelle Arsan


Shéhérazade


Cette Shéhérazade nous l’avons aimée à la folie.

André Griffon, Le Monde

Pièce intime inspirée du théâtre antique où se livraient les douleurs de la cité et dont les héros étaient des héroïnes, la Shéhérazade de Lombardot est une œuvre magnifique… Elle nous entraîne, par delà les épreuves, jusqu’à l’humanité retrouvée.

N.B. La Tribune


Requiem


Que dire ? Plutôt ne rien dire. Ne rien pouvoir dire. Chacun sur son fauteuil est resté coi, abasourdi.

Sébastien Porte, le Dauphiné Libéré

Un texte extraordinaire, un cri sur la guerre, terrible, insoutenable et magnifique.

Gilles Costaz, Politis

Dans un monde théâtral saisi par la futilité ou la fausse gravité liée aux effets de mode, Requiem fait l’effet d’un coup de tonnerre salutaire.

Jean-Pierre Hahn, La Croix

Chaque soir, à la fin du spectacle, le public reste cloué sur placesous le choc, les gens éprouvent un besoin irrépressible de communiquer les uns avec les autres. Une expérience unique.

Alain Spira, Paris Match


Concert au Mont-Blanc


Le spectacle le plus fou du monde et le plus chargé de sens.

Il Corriere de la Serra

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Le voyage


Un spectacle magique, féerique, unique en son genre. Du jamais vu, jamais ressenti. Une fête pour les sens et pour l’esprit. Une révolution ! Au bout des sept heures qu’il dure, on en redemande. On voudrait ne jamais en sortir.

A. Magheru


Seulement pour les fous


Seulement pour les fous est un hymne puissant à l’absolu, à l’irraisonnable qui arrache un instant le mortel au morne et au banal. Appuyé par un texte superbement ciselé, c’est le spectacle total, entier comme l’est une pure passion.

O.C. La République du Centre


Noël 1788


Noël 1788 est une œuvre dérangeante, non par hermétisme, mais bien parce que l’homme est un être curieux, surprenant, sur lequel l’auteur porte un regard sans concession. L’exploration de Roger Lombardot vaut la peine d’être vue et entendue. En s’inspirant de l’oratorio de Noël composé par Jean-Sébastien Bach il s’est laissé gagner par le génie et le délire du compositeur.

Eric Chabauty, L’Est Républicain


Marcovolio


Marcovolio est un retour à l’innocence, via la tendresse, l’humour, la révolte, la déchirure. Libération Une écriture raffinée, un texte frais et acide, nostalgique et incisif, aux confins du rêve et de la folie.

Le Progrès


Il y a des salauds qui pillent le cœur des femmes


Voici un auteur indiscutable et un bon, avec du style, une connaissance du théâtre et une absolue nécessité d’écrire.

J.L. Jenner, Le Figaro

Extraordinaire puissance de l’imaginaire ! En écoutant ce texte on sent remuer son âme.

Le Provençal

Roger Lombardot vous parle avec une intelligence et une sensibilité d’une qualité si rare que l’émotion vous saisit et vous donne envie de crier.

C. Montanari, Le Midi libre


Le Président


La structure dramatique du Président, d’une rigoureuse efficacité, son écriture superbe jouant de tous les registres persuadent le spectateur qu’il se trouve devant une grande œuvre. Une réussite, originale et forte, déconcertante souvent, mais constamment excitante pour l’esprit.

Jacques Roux, le Dauphiné Libéré